La parentalité positive est un mode d’éducation basé sur les recherches en neurosciences sur le cerveau de l’enfant, pas aussi mature que celui des adultes. (Normal, il est en plein développement !) Ce changement de regard sur l’enfant, scientifique et personnel, est la clé de voûte pour vivre la parentalité différemment…
Ce courant d’éducation part du principe que l’enfant a besoin de se sentir aimé et accompagné, quoi qu’il arrive au quotidien (aussi, et même surtout, lors des moments de crises !). Aussi, la parentalité positive s’attache à trouver des solutions éducatives alternatives aux punitions et à l’isolement. Tout en poursuivant en double objectif : favoriser la coopération de l’enfant à court terme ET l’intégration de la leçon à long terme. (Peut-être cela vous rappelle-t-il la dernière fois où votre cher petit a enfreint un interdit pour la troisième fois en une semaine…)
Et si vous pouviez gérer la prochaine crise autrement ? Combiner discipline avec amour et chaleur ?
Telle est l’ambition de la parentalité positive !
La parentalité positive poursuit trois objectifs :
Bonne nouvelle : la parentalité positive n’est pas laxiste !
Au contraire, l’enfant qui grandit sans règles ni limites n’a aucun repère pour sa vie en société : qu’est-ce qui est admis ? qu’est-ce qui ne l’est pas ? Il a besoin de nous, les adultes, pour fixer des repères et comprendre le monde ! La parentalité positive recherche l’équilibre entre souplesse et fermeté.
Le parent reste « ferme et cohérent dans ses exigences, tout en montrant chaleur, amour et compassion avec l’enfant »
(Dan Siegel et Tina Payne Bryson, La discipline sans drame)
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Bordeaux
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